Un de mes bébés echeveria ‘Purple Pearl’ et, dans le fond, mon atelier :))
Je suis tombée sur un texte qui m’a plus. Je l’ai traduit aussitôt de l’anglais. Le voici :
« Je veux vivre simplement. Lorsqu’il pleut, je veux m’asseoir près de la fenêtre et lire des livres sur lesquels je ne serai jamais interrogée. Je veux peindre parce que c’est ma volonté, et non pas pour prouver quelque chose. Je veux écouter mon corps, m’endormir lorsque la lune est haute dans le ciel et me réveiller doucement, sans devoir me précipiter en quelque lieu que ce soit. Je ne veux pas être gouvernée par l’argent, ni par l’horloge, ni par des contraintes artificielles que l’humanité s’impose à elle-même. Je veux juste être, sans limites et infinie. » Auteur inconnu.
Ce texte est magnifique, simple et fait parfaitement écho à la rage sourde que je ressens chaque jour. Devoir se précipiter, apprendre, rentabiliser, organiser… alors que tout ce que je veux, c’est un coin de forêt et un coin de potager, quelques chèvres, et du temps à profusion pour tisser mes fils et façonner mes violons…
Je te lis et te suis depuis des années, toujours en pointillés, sans jamais oser commenter. Fallait bien une première ;) Merci pour ton travail et tes écrits inspirants.
Je te le souhaite. Mon homme et moi, ça nous a demandé du temps, de l’organisation et de la réflexion, et quand le moment est venu, de belles opportunités se sont présentées à nous. C’était un peu effrayant au début, mon entourage nous traitait de fous, on se demandait si on faisait les bons choix et en vérité, je ne voudrais revenir en arrière pour rien au monde.
Merci pour ton commentaire et ta signature qui me permet de découvrir ton blog.
Superbe ce texte, magnifique de simplicité.
C’est une véritable oasis de fraîcheur pour l’âme que de lire ce texte alors qu’on vit dans un monde de fou.
Quel en est l’auteur anglais?
Merci! :)